(Re)découvrir la Mésopotamie
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L’histoire de l’ancienne Mésopotamie s’était largement perdue. Seule la mémoire des deux dernières puissances, assyrienne et babylonienne, s’était conservée jusqu’à l’époque moderne par le biais de la Bible et d’auteurs grecs et latins.
Quelques pionniers se sont alors lancés à la redécouverte archéologique de cette civilisation : le tout premier, dès 1842, est Paul-Émile Botta. Animé par la recherche de la ville de Ninive, rendue mythique par la Bible, il découvre en réalité le site de l’ancienne capitale assyrienne Khorsabad. À partir de 1847, ses découvertes ont été exposées au musée du Louvre, où pour la toute première fois on pouvait voir les vestiges d’une civilisation oubliée.
Quelques années plus tard, le musée parisien a encore joué un rôle précurseur en soutenant des fouilles plus au sud du territoire. Celles-ci ont révélé un passé de la Mésopotamie encore plus ancien et totalement oublié : le monde sumérien, dont la langue a été déchiffrée en grande partie au Louvre.
Depuis sa redécouverte, la Mésopotamie nourrit l’imaginaire collectif dans tous les domaines de la création : beaux-arts, architecture, littérature, théâtre, opéra, musique pop/rock, cinéma, design, mode, bande dessinée et jeux vidéo.
L’histoire de l’ancienne Mésopotamie s’était largement perdue. Seule la mémoire des deux dernières puissances, assyrienne et babylonienne, s’était conservée jusqu’à l’époque moderne par le biais de la Bible et d’auteurs grecs et latins.
Quelques pionniers se sont alors lancés à la redécouverte archéologique de cette civilisation : le tout premier, dès 1842, est Paul-Émile Botta. Animé par la recherche de la ville de Ninive, rendue mythique par la Bible, il découvre en réalité le site de l’ancienne capitale assyrienne Khorsabad. À partir de 1847, ses découvertes ont été exposées au musée du Louvre, où pour la toute première fois on pouvait voir les vestiges d’une civilisation oubliée.
Quelques années plus tard, le musée parisien a encore joué un rôle précurseur en soutenant des fouilles plus au sud du territoire. Celles-ci ont révélé un passé de la Mésopotamie encore plus ancien et totalement oublié : le monde sumérien, dont la langue a été déchiffrée en grande partie au Louvre.
Depuis sa redécouverte, la Mésopotamie nourrit l’imaginaire collectif dans tous les domaines de la création : beaux-arts, architecture, littérature, théâtre, opéra, musique pop/rock, cinéma, design, mode, bande dessinée et jeux vidéo.
L’histoire de l’ancienne Mésopotamie s’était largement perdue. Seule la mémoire des deux dernières puissances, assyrienne et babylonienne, s’était conservée jusqu’à l’époque moderne par le biais de la Bible et d’auteurs grecs et latins.
Quelques pionniers se sont alors lancés à la redécouverte archéologique de cette civilisation : le tout premier, dès 1842, est Paul-Émile Botta. Animé par la recherche de la ville de Ninive, rendue mythique par la Bible, il découvre en réalité le site de l’ancienne capitale assyrienne Khorsabad. À partir de 1847, ses découvertes ont été exposées au musée du Louvre, où pour la toute première fois on pouvait voir les vestiges d’une civilisation oubliée.
Quelques années plus tard, le musée parisien a encore joué un rôle précurseur en soutenant des fouilles plus au sud du territoire. Celles-ci ont révélé un passé de la Mésopotamie encore plus ancien et totalement oublié : le monde sumérien, dont la langue a été déchiffrée en grande partie au Louvre.
Depuis sa redécouverte, la Mésopotamie nourrit l’imaginaire collectif dans tous les domaines de la création : beaux-arts, architecture, littérature, théâtre, opéra, musique pop/rock, cinéma, design, mode, bande dessinée et jeux vidéo.
L’histoire de l’ancienne Mésopotamie s’était largement perdue. Seule la mémoire des deux dernières puissances, assyrienne et babylonienne, s’était conservée jusqu’à l’époque moderne par le biais de la Bible et d’auteurs grecs et latins.
Quelques pionniers se sont alors lancés à la redécouverte archéologique de cette civilisation : le tout premier, dès 1842, est Paul-Émile Botta. Animé par la recherche de la ville de Ninive, rendue mythique par la Bible, il découvre en réalité le site de l’ancienne capitale assyrienne Khorsabad. À partir de 1847, ses découvertes ont été exposées au musée du Louvre, où pour la toute première fois on pouvait voir les vestiges d’une civilisation oubliée.
Quelques années plus tard, le musée parisien a encore joué un rôle précurseur en soutenant des fouilles plus au sud du territoire. Celles-ci ont révélé un passé de la Mésopotamie encore plus ancien et totalement oublié : le monde sumérien, dont la langue a été déchiffrée en grande partie au Louvre.
Depuis sa redécouverte, la Mésopotamie nourrit l’imaginaire collectif dans tous les domaines de la création : beaux-arts, architecture, littérature, théâtre, opéra, musique pop/rock, cinéma, design, mode, bande dessinée et jeux vidéo.