Première écriture
bloc 1
La plus ancienne écriture connue est apparue en Mésopotamie à la fin du 4e millénaire avant J.-C. Cette écriture est appelée cunéiforme en raison de la forme en clou – cuneus en latin – des signes qui la composent.
Ce système a connu un grand rayonnement dans tout l’Orient : employé jusqu’à la fin du 1er millénaire avant notre ère pour noter une quinzaine de langues, dont le sumérien et l’akkadien qui ont été les deux principales langues écrites en Mésopotamie. Les textes cunéiformes ont majoritairement été inscrits sur des tablettes d’argile, sur lesquelles pouvaient être imprimés des cylindres scellant et authentifiant les documents.
Les dizaines de milliers de textes retrouvés comportent des inscriptions royales, des textes littéraires, religieux, économiques ou scientifiques, mais encore des lettres ou des plans. Ces tablettes révèlent en détails la société mésopotamienne, son organisation sociale, familiale et des éléments de la vie quotidienne. Le contenu des grandes bibliothèques témoigne également de la culture savante mésopotamienne, dans des domaines aussi divers que les mathématiques, la géométrie, l’astronomie, l’astrologie, la divination ou la médecine.
La plus ancienne écriture connue est apparue en Mésopotamie à la fin du 4e millénaire avant J.-C. Cette écriture est appelée cunéiforme en raison de la forme en clou – cuneus en latin – des signes qui la composent.
Ce système a connu un grand rayonnement dans tout l’Orient : employé jusqu’à la fin du 1er millénaire avant notre ère pour noter une quinzaine de langues, dont le sumérien et l’akkadien qui ont été les deux principales langues écrites en Mésopotamie. Les textes cunéiformes ont majoritairement été inscrits sur des tablettes d’argile, sur lesquelles pouvaient être imprimés des cylindres scellant et authentifiant les documents.
Les dizaines de milliers de textes retrouvés comportent des inscriptions royales, des textes littéraires, religieux, économiques ou scientifiques, mais encore des lettres ou des plans. Ces tablettes révèlent en détails la société mésopotamienne, son organisation sociale, familiale et des éléments de la vie quotidienne. Le contenu des grandes bibliothèques témoigne également de la culture savante mésopotamienne, dans des domaines aussi divers que les mathématiques, la géométrie, l’astronomie, l’astrologie, la divination ou la médecine.
La plus ancienne écriture connue est apparue en Mésopotamie à la fin du 4e millénaire avant J.-C. Cette écriture est appelée cunéiforme en raison de la forme en clou – cuneus en latin – des signes qui la composent.
Ce système a connu un grand rayonnement dans tout l’Orient : employé jusqu’à la fin du 1er millénaire avant notre ère pour noter une quinzaine de langues, dont le sumérien et l’akkadien qui ont été les deux principales langues écrites en Mésopotamie. Les textes cunéiformes ont majoritairement été inscrits sur des tablettes d’argile, sur lesquelles pouvaient être imprimés des cylindres scellant et authentifiant les documents.
Les dizaines de milliers de textes retrouvés comportent des inscriptions royales, des textes littéraires, religieux, économiques ou scientifiques, mais encore des lettres ou des plans. Ces tablettes révèlent en détails la société mésopotamienne, son organisation sociale, familiale et des éléments de la vie quotidienne. Le contenu des grandes bibliothèques témoigne également de la culture savante mésopotamienne, dans des domaines aussi divers que les mathématiques, la géométrie, l’astronomie, l’astrologie, la divination ou la médecine.